Puela, petite fille soutenue en Inde, raconte son quotidien durant le confinement

Puela Pushpa, une petite fille de 8 ans, a toujours vécu dans la Maison d'enfants de notre partenaire en Inde, la Fondation St. Joseph’s Development Trust, située dans l'Etat du Tamil Nadu. Alors que des mesures de confinement de la population ont été mises en place dans tout le pays, Puela Pushpa et de nombreux enfants continuent d'être pris en charge et d'accéder à leurs besoins vitaux grâce à nos équipes locales.

L'aide humanitaire aux enfants vulnérables continue pendant le confinement

"J'ai vraiment hâte de pouvoir retourner à l'école une fois que la crise du coronavirus sera passée !"

"Je m'appelle Puela Pushpa, j'ai 8 ans. Je suis actuellement en primaire. Je suis accueillie au sein de la Maison d’enfants de Pudu Irudhayam depuis ma naissance. Grâce à l’association, j’ai accès à l’éducation, à des repas complets, à un hébergement et je peux aussi apprendre de bonnes habitudes."

"Le confinement a été mis en place il y a près de deux semaines au sein de la Maison d’enfants. Depuis environ un mois, mes camarades et moi ne sommes plus scolarisés car les écoles sont fermées. Tout comme les autres enfants pris en charge pendant cette période de confinement, je ne suis pas autorisée à sortir de l'établissement. Les équipes de l’association nous ont dit qu’il était plus sûr pour nous de rester à l’intérieur du campus de la Maison d’enfants. Pour nous occuper, les équipes de l'association nous proposent des activités tels que le jardinage ou des jeux éducatifs."

Sensibiliser les enfants démunis aux gestes barrières contre le coronavirus

"Nous avons été sensibilisés au coronavirus et à ses symptômes : rhume, fièvre, maux de gorge, suffocation… Les équipes nous ont aussi expliqué les gestes barrières pour éviter la propagation du Covid19. Nous devons rester à distance et nous laver les mains fréquemment et pendant au moins vingt secondes."

"J'ai vraiment hâte de pouvoir retourner à l'école une fois que la crise du coronavirus sera passée. Mes études, mes professeurs et mes amis me manquent. Plus tard, j’aimerais travailler au sein de la Maison d’enfants."

 
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